L’histoire de Marc qui a rencontré Nadine sur Facebook
09/06/2009 - Célibataire MontréalCoach Rencontres MontréalTrouver l'AmourTrouver l'amour
Marc C un entrepreneur célibataire de 40 ans de Montréal, était sur Facebook un soir de semaine de septembre. Marc avait fait plusieurs cours de développement personnel au cours des dernières années dont les ateliers pour célibataires de CoachSéduction. Curieux de voir ce qu’avait l’air l’application pour faire des rencontres Are you interested, il décide de l’installer.
Marc regardait les photos et commence rapidement à envoyer des cours messages. « En fait, rapporte-t-il, l’application est assez rudimentaire. Ce n’est pas développé comme un site de rencontres tel Réseau Contact, Net Club ou Compagnie.com. On peut y envoyer des icônes pour flirter et montrer nos états d’âme…. Mais il n’y a pas de profil détaillé de la personne comme ses intérêts, plusieurs de ses photos, etc.
C’est rapide pour voir le profil. Cela fait en sorte que les femmes me semblent moins exigeantes dans leurs critères que sur les vrais sites de rencontres. Moi je trouve, qu’elles sont plus faciles d’approche. En tout cas j’avais plus de réponses. Elles ont l’air de se sentir plus en sécurité que sur un site de rencontres. Peut-être que c’est dû au fait qu’elles se servent de Facebook pour d’autres aspects de leur vie, comme leur travail, être en contacts avec leur famille et amis… Cela décontracte l’atmosphère pour les rencontres car les gens se trouvent là pour jaser et ils sont plus naturels. »
Le commentaire de Marc va dans le même sens que ce qui est enseigné dans les ateliers de CoachSéduction afin que les célibataires soit dans un état favorable aux rencontres amoureuses. Si les célibataires agissent comme s’ils devaient absolument rencontrer quelqu’un, cela crée une pression sur eux-même et sur les autres… Plusieurs célibataires ne sont pas conscients qu’ils sont comme ça dans leurs rencontres. Cela est repoussant car la dynamique des rencontres n’est pas très décontractée. Je n’ai rien contre les sites de rencontres, au contraire, mais je sais que ce n’est pas un moyen qui convient à tous le monde, dû à cette ambiance où la pression règne parfois….
Marc poursuit son histoire. « Lorsque je naviguais dans l’album photos de l’application Are you interested, les yeux perçants d’une femme sur une petite photo ont retenu mon attention… Je lui ai envoyé un message, mais sans réponses de sa part. Environ un mois plus tard, je revois passer sa photo dans l’album de l’application et je luis renvois un message. Cette fois-ci, elle répond. Je lui suggère rapidement de passer de Facebook à MSN car les accents en français ne sont pas pris en compte sur l’application anglophone. Puis, je l’ai invité à me téléphoner. La conversation a confirmé que ça clickait entre nous.
Quelques conversations téléphoniques plus tard, j’apprend qu’elle aime deux sortes de chocolat Suisse : Ragusa et Torrino. Après lui en avoir acheté une de ses sortes, je l’ai appelé pour lui dire : « Nadine, j’ai trouvé une de tes sortes de chocolat préférée, si tu veux je peux soit te la livrer par la poste, soit te l’ apporter chez toi. »
Elle a été séduite par son « guts » et son côté fonceur : elle lui a répondu qu’il pouvait venir chez elle le soir même.
Marc savait aussi comment décoder les signes de réceptivité : dans son langage non verbal, dans sa façon de parler, sa voix, les mots qu’elles utilisaient, etc. Il avait décrypté qu’elle aimait le genre d’hommes dégourdis et qu’une invitation directe serait de mise. Il a eu confiance même s’il n’avait pas eu de réponses la première fois, il a su comment l’inviter pour la voir, etc.
Avant d’officialiser leur relation de couple, ils ont pris le temps de se connaître et de s’apprécier. « Nous sommes très amoureux et heureux m’a rapporté Marc ». Depuis le printemps 2010, ils ont déménagé ensemble pour vivre à deux.
